Divorcés-remariés en Belgique
31 mai 2017
L' épiscopat belge en appelle à la conscience des futurs préposés à la communion ... Je serai eux, j'attendrais l'avertissement de Garabandal, car ils seront plus éclairés quand leur âme sera passée à la moulinette du jugement particulier, dernier acte de Miséricorde Divine .
Divorcés et divorcés remariés: trois concepts de base
Les évêques n’éludent pas la délicate question de la communion pour les personnes divorcées remariées, un thème qui est abordé explicitement dans le chapitre huit d’Amoris Laetitia. S’ils précisent que « l’indissolubilité du mariage appartient au trésor fondamental et irrévocable de la foi de l’Eglise », ils soulignent aussi que, pour le pape, toutes les situations ne devraient pas être abordées de la même manière. Sans détour, ils réaffirment que les divorcés remariés font partie de l’Eglise, précisant que, dans cette problématique, le pape François a placé le discernement nécessaire comme concept central dans l’approche à adopter. Clairement, l’épiscopat belge adopte une position d’ouverture sur les propos du pape: « On ne peut donc pas décréter que tous les divorcés remariés peuvent être admis à la communion. On ne peut pas non plus décréter qu’ils en sont tous exclus. Le cheminement de chaque personne demande le discernement nécessaire en vue d’une décision pastorale prise en conscience. » Il ajoute que toute la pastorale doit être orientée autour de trois concepts de base: l’accompagnement, le discernement et l’intégration. Les évêques demandent à ce que, dans cette démarche de discernement, les personnes puissent compter sur un accompagnement pastoral, sur un dialogue avec un prêtre, un diacre ou un autre agent pastoral.
« Amoris Laetitia ouvre bien clairement une porte aux divorcés remariés pour qu’ils puissent recevoir l’aide des sacrements. Mais cette décision, ils ne peuvent – pas plus que les autres croyants – la prendre à la légère », écrivent les prélats de notre pays, appelant à relire ce que le pape avance comme critères. « Dans une telle démarche de discernement, juger en conscience est important de la part des personnes impliquées, tout comme des responsables pastoraux. »
Enfin, les membres de l’épiscopat belge soulignent le poids que le pape François reconnaît à la décision prise en pleine conscience par les croyants: « (…) Nous sommes appelés à former les consciences, mais non à prétendre nous substituer à elles. » (AL 37)
Indiquant qu’une démarche de discernement ne conduit pas à un oui ou un non automatique à pouvoir communier, les évêques admettent qu’il se peut aussi que quelqu’un décide en conscience de recevoir l’Eucharistie. Et la réponse est évidente pour eux, à la lumière d’Amoris Laetitia: « Cette décision mérite aussi le respect. Entre le laxisme et le rigorisme, le pape François choisit la voie du discernement personnel et d’une décision prise soigneusement et en conscience. »
http://www.cathobel.be/2017/05/24/episcopat-belge-lettre-pastorale-dune-grande-ouverture/
Bastiano qui se demande pourquoi vivre en frère et soeur, comme le demandait l Eglise n'est plus la marche à suivre ...
Ah oui ... Evidemment la Grâce de Dieu ...plus personne n'y croit en cette matière, pour résister à la tentation et pourtant .
Résister même n'est plus d'actualité ! Non mais ! D'abord nos envies et désirs charnels avant la volonté de Dieu !
Moi qui croyait que la Vérité nous rendait libre ...
Finalement seule la Vérité qui convient est devenue la norme ...
Faudra penser à supprimer le 6 éme commandement aussi, Messires les Evêques ou demander à Dieu qu' Il comprenne en 2017 que cela n'est plus possible !
Même l'adage " Dieu ne change pas " doit être remplacé par " L"homme décide, Dieu suit "
Peut on faire n'importe quoi des clès de Saint Pierre ? Il y a des coups de crosse qui se perdent ...
Bastiano